
UNE MAISON ET SON HISTOIRE
La famille Maillard est ancrée sur le territoire de Vertus depuis toujours, ou presque. On peut remonter dans la généalogie familiale au moins au XVIIe siècle, dans des lignées de paysans, de laboureurs qui, déjà, cultivaient ces terres. Ce que l’on vinifie à l’époque se nomme le « gris », le vin du soldat, et les vins de Vertus sont déjà réputés.
Là, en marge de la Première Guerre mondiale, le grand-père de Daniel Maillard se marie à une jeune Belge, dont la famille avait dû quitter la région d’Ypres, le lieu de terribles combats opposant Allemands et Britanniques. Née aux Etats-Unis, ayant passé son enfance en Belgique, elle aura cinq enfants à Vertus, dont le père de Daniel Maillard, qui deviendra ouvrier viticole sur de nombreuses parcelles de la commune, qu’il entretiendra pour d’autres. Il est alors le premier à avoir un cheval pour l’aider, puis à s’équiper d’un tracteur. Comme beaucoup, sa production est réduite, et il vend ses raisins aux grandes maisons.





Daniel Maillard sera le premier, finalement, à ne pas se consacrer au travail de la terre et de la vigne. Il quitte Vertus et part vivre sa vie, loin. Lorsque le moment de la transmission arrive, en travaillant en parallèle dans un tout autre secteur, Daniel Maillard se lance dans cette nouvelle aventure. Il répond à l’appel de la terre, de sa terre, celle sur laquelle ont œuvré les générations qui l’ont précédé.
Des 33 ares de l’héritage initial, il agrandit peu à peu son domaine pour exploiter aujourd’hui, dans le cadre d’une viticulture raisonnée et durable, un vignoble d’1,2 hectares. C’est peu, mais suffisant pour produire en petits volumes un champagne de qualité, Blanc de blancs, de cépage 100% Chardonnay, en Premier cru.
Une aventure et une passion pour la terre, pour la vigne et pour le geste du vigneron qui, du cep à la bouteille, construit patiemment un vin à son image.

UNE MAISON ET SON HISTOIRE
La famille Maillard est ancrée sur le territoire de Vertus depuis toujours, ou presque. On peut remonter dans la généalogie familiale au moins au XVIIe siècle, dans des lignées de paysans, de laboureurs qui, déjà, cultivaient ces terres. Ce que l’on vinifie à l’époque se nomme le « gris », le vin du soldat, et les vins de Vertus sont déjà réputés.
Là, en marge de la Première Guerre mondiale, le grand-père de Daniel Maillard se marie à une jeune Belge, dont la famille avait dû quitter la région d’Ypres, le lieu de terribles combats opposant Allemands et Britanniques. Née aux Etats-Unis, ayant passé son enfance en Belgique, elle aura cinq enfants à Vertus, dont le père de Daniel Maillard, qui deviendra ouvrier viticole sur de nombreuses parcelles de la commune, qu’il entretiendra pour d’autres. Il est alors le premier à avoir un cheval pour l’aider, puis à s’équiper d’un tracteur. Comme beaucoup, sa production est réduite, et il vend ses raisins aux grandes maisons.



Daniel Maillard sera le premier, finalement, à ne pas se consacrer au travail de la terre et de la vigne. Il quitte Vertus et part vivre sa vie, loin. Lorsque le moment de la transmission arrive, en travaillant en parallèle dans un tout autre secteur, Daniel Maillard se lance dans cette nouvelle aventure. Il répond à l’appel de la terre, de sa terre, celle sur laquelle ont œuvré les générations qui l’ont précédé.
Des 33 ares de l’héritage initial, il agrandit peu à peu son domaine pour exploiter aujourd’hui, dans le cadre d’une viticulture raisonnée et durable, un vignoble d’1,2 hectares. C’est peu, mais suffisant pour produire en petits volumes un champagne de qualité, Blanc de blancs, de cépage 100% Chardonnay, en Premier cru.
Une aventure et une passion pour la terre, pour la vigne et pour le geste du vigneron qui, du cep à la bouteille, construit patiemment un vin à son image.

Ensemble, les deux hommes choisissent un papier à dessin à gros grain, de type Canson, pour une large étiquette. « Nous voulions qu’elle serve de support à ce qui pourrait s’apparenter à une fresque, un support sur lequel l’œuvre de Christian Lapie pourrait, grâce à la transparence de la bouteille, apparaître dans un jeu d’optique proche de celui du zootrope, cette boîte circulaire à l’intérieur de laquelle se trouvent une succession d’images et qui, lorsqu’on la tourne, donne l’illusion du mouvement. » Car Antoine a décidé d’abandonner l’habituel vert bouteille des flacons champenois pour un verre transparent qui révèle toute la pureté du breuvage. « Ici aussi, j’ai choisi un objet très modeste mais qui, tout en conservant la forme de la bouteille champenoise, met en valeur le produit et tout le travail d’habillage. » Le coffret en bois qui contient la bouteille est aussi signé de l’une de ces silhouettes noires si caractéristiques de l’œuvre de Christian Lapie. Numérotées, ces 150 bouteilles du millésime 2016 font vivre un héritage. Hommage d’un petit-fils de vigneron à son grand-père, elles font le lien entre la terre et les hommes, entre la vigne et l’art.

© CHAMPAGNE DANIEL MAILLIARD 2024 - MENTIONS LÉGALES